Toute activité professionnelle présente des risques pour la sûreté d’un travailleur. Et dépendamment de la profession, certains seront plus exposés que d’autres dans leurs lieux de travail. Selon le type de travail effectué, la protection spécifique des vêtements à haute visibilité doit être choisie. La loi exige que les travailleurs exposés au risque d’être renversés par des véhicules ou des engins en mouvement portent un équipement de haute visibilité approprié. On trouve beaucoup d’acteurs comme Wurth modifs (modyf.fr) qui mettent en vente des équipements de travail adaptés. La question se pose donc de savoir comment choisir ses équipements ?
Il existe un large choix en matière des vêtements de haute visibilité sur le marché, il faut cependant prêter attention à certains éléments :
La classe de vêtement de haute visibilité
La classe pour les vêtements de haute visibilité est étroitement liée au risque encouru. Il en existe trois types qui dépendent de la surface de tissu fluorescent et rétro réfléchissant utilisée. Les vêtements de la classe une sont ceux qui sont destinés à des lieux à faibles risques. Ils sont adaptés aux personnes qui travaillent dans des chantiers ou qui vont effectuer un travail sur une route, mais qui ne durera pas longtemps. Ils ont l’obligation de couvrir une surface visible minimale de matériau fluorescent de 0,14 m² et ou une surface visible minimale de matériau rétroréfléchissant de 0,1 m². Cette partie visible doit être reconnu par un cycliste ou automobiliste qui roule jusqu’à 30 km/h. Dans cette classe une, vous avez des pantalons qui sont portés seuls, des baudriers et des gants. La deuxième classe couvre une surface modérément plus grande du corps et procure une excellente visibilité. Les vêtements de cette catégorie convient aux personnes qui travaillent sur les voies ferrées, des personnels qui s’occupent des bagages à l’aéroport et des Gardiens de parking et préposés au péage. Ils ont l’obligation de recouvrir au moins 0.50 m² de zone fluorescente et ou 0,13 m² de zone rétroréfléchissante. Les vêtements de haute visibilité de cette classe ne peuvent être aperçue au-delà de 60 km/h. Vous y trouverez les plus souvent des chasubles, des polos et des gilets. La troisième classe couvre une grande surface du corps et c’est le niveau de visibilité le plus élevé. Ces équipements sont adaptés pour les mauvais temps et les opérateurs de nuit. Il est exigé du vêtement de cette classe de couvrir une surface minimale de matériau fluorescent de 0,8 m² et matériau rétrofléchissant de 0.2 m². Bien souvent, ils peuvent être repérés au-delà de 60km/h. Pour cette dernière classe, nous avons habituellement des vestes à manches longues, des parkas, des combinaisons et des ensembles vestes et pantalons.
La taille
La dimension est un facteur essentiel dans la sélection de vos équipements de protection. Les grands vêtements de couleur vive se repèrent plus facilement que les plus petits. Un vêtement qui enveloppe tout le corps permet une plus grande visibilité dans tous les sens. Les rayures sur les bras et les jambes permettent de repérer plus facilement les mouvements de la personne qui les a portées.
Les autres exigences telles que la résistance à la flamme, la performance thermique, la capacité à être imperméable, la longévité, le grand confort, la possibilité de déchirement, la capacité de pénétration de l’air dans le tissu et la souplesse pour satisfaire aux exigences du travail peuvent être déterminantes.
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